• Deuxième essais après une déconnexion intempestive. Plus envi de tout réécrire.

    Juste passe juste ence leix faire le bilan succint de cette année.

    Juste un exutoire pour dire que j'ai fait une énorme erreur qui me poursuit encore aujourd'hui. Pas de regret, mais de la honte pour moi d'avoir donné plus que je n'aurai du et de voir que la solitude est toujours présente.

    J'aurai tant voulu dire et d'un coup je n'en ai plus envi.

    Cela fait ressortir trop de tristesse, d'amertume et de dégoût.

    Je pourrais faire des projets, des voeux pour l'année à venir, mais je ne vois rien pour l'instant qui pourrait éclairer le chemin devant moi.

     

    Alors je vous laisse à nouveau pour une durée incertaine et pour ceux qui le mérite je vous souhaite UNE BONNE ANNEE.


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  • Oser ou pas... Prendre un nouveau départ ou continuer sans rien changer. Voilà où j'en suis aujourd'hui.

     

    Un coup de téléphone et il la vie peu prendre un nouveau tournant. Un choix à faire, une décision sur une nouvelle orientation.

    Ai-je le droit d'imposer à d'autres que moi de suivre un chemin différent, loin, très loin des bases actuelle. Comme si dans ma vie tout était facile, voilà que viens ce greffer sur mes problèmes existentiels, des choix d'ordre professionnels. Certes j'ai le plaisir (teinté de fierté) d'avoir été démarché sans n'avoir rien demandé. Voilà une reconnaissance qui fait du bien, savoir que mes compétences puissent être jugées suffisamment bonnes pour tenter de me débaucher. Mais mon caractère revient à la surface au galop. Suis-je véritablement à la hauteur des attentes placées en moi. Ne vais-je pas risquer de tout perdre en changeant. 800 km ça fait pas mal de distance pour un nouveau départ. Couper les racines que j'ai ancrées ici pour tenter d'en faire pousser d'autres ailleurs... Et même si cela me ramène dans ma région d'origine, près de ma famille, le chemin inverse je l'avais fait seul, sans rien à perdre ni craindre. Alors qu'aujourd'hui tout est différent.

    C'est vrai que je me sens souvent isolé, mais je n'ai jamais dit que j'étais seul. Et j'ai peur de décevoir encore... Peur de blesser les seuls êtres qui comptent réellement pour moi...

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    Voilà, à nouveau je suis face à des décisions. Habitué à gérer celles qui ne concernent que moi, je me retrouve perdu devant celles-ci qui vont toucher d'autres personnes.

    Encore un week-end de réflexion en perspective. J'espère réussir à faire le bon choix


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  • Petit silence... Absence involontaire... Retour dans ce monde où mes pieds ne touchent pas terre. Nuits trop courtes pour apporter le repos. Nuits trop longues passées les yeux ouverts. Des réflexions permanentes qui tordurent le coeur et le corps. L'âme vide d'envie et d'espoir, j'ai repris la route. Aucun phare ne s'est allumé sur mon chemin.

    Je me sens si seul... perdu au milieu de la foule. Mes mains tendu n'attrapent que les ombres furtives de ceux qui m'entourent. Plus rien pour ce raccrocher. Je glisse imperceptiblement, inéluctablement vers cet abîme si souvent redouté. Pas même l'envi de remonter.

    Plus rien n'a d'importance. Plus rien... que le silence...


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  • J'ai mis le temps. J'ai pris mon temps.

    Fais un bilan, encore un ... J'aurai pu m'en passer... Le résultat étant conforme à mes inquiètudes...

    Des sentiments déjà décrits, écrits et commentés. Et pourtant j'ai encore besoin de ce lieu pour soulager la lourdeur de mon ame. écrire combien je me sens perdu ne sachant pas comment donner un but à ma vie. Pas un but final, mais des jalons intermédiaires ceux qui nous permettent d'avancer et d'orienter notre parcours à chaque fois que cela est nécessaire. Les balises et phares que j'avais prévu ont coulé dans une tempête. J'avance à présent sans boussole ni carte. Comme un bateau fantome errant en plein coeur de l'océan. Comme les rivages que j'ai pu apercevoir ce sont avèrés être des mirages, je n'ai plus aucune envie de monter en vigie pour scruter l'horizon. Mon océan est fait de vide immense, le vent ne soufle plus sur les toiles déchirées de mon voilier. Je vais donc rester là, au pied du mat, attendant le prochain ouragan. N'espérant plus la bise légère qui aurait su me mener sans encombre sur des terres fertiles de joies et de bonheur.

    J'ai passé trop de temps à pincer les cordes de ma guitare et caresser les touchent de mon piano, en espérant que mes mélodies m'emmènent vers ces rivages, à présent mes mots sont devenu vide, mes accords disgracieux et mes mélodies ne font plus décoller que les oiseaux qui partent sans moi sur les ailes du vent. Un jour surement viendra celui qui me prendra sur son dos. Ses ailes remplaceront mes voiles et il m'emmènera dans ces lieux dont j'ai si souvent rêvé.

    Mais le moment n'est pas encore venu de pouvoir espérer ...  


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  • J'ai deux véritables problèmes (au moins). Deux traits de caractère que je connais très bien et contre lesquels je n'arrive pas à lutter. Ils sont liés l'un à l'autre par ce que beaucoup appelleraient de la timidité. Je ne pense pas que ce ne soit que cela car on peu être timide face à des gens que l'on ne connait pas, pas face à des personnes que l'on connait bien.

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    Mon premier problème est que j'ai du mal, voir même je n'arrive pas à parler de ce qui me touche par rapport aux autres. Bien sur je ne parle pas d'étaler sur la place public les choses qui me tiennent à cœur, mais oser simplement s'adresser aux autres m'est difficile, que ce soit en bien ou en mal, je n'y arrive pas. J'ai appris à me débrouiller tout seul pour éviter d'avoir à demander un coup de main, je regrette aussi parfois n'avoir pas osé proposer mon aide. Tout c'est petit non dit me pèsent parfois. Ils font que peu me connaissent réellement. Rare sont ceux à qui je me suis ouvert et qui par là on toute ma confiance.

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    Mon second problème explique surement un peu le premier. En fait j'ai toujours la crainte de déranger les autres. Que ce soit justifier ou non, j'ai ce sentiment perpétuel que quoi que je dise ou fasse, soit cela n'intéressera pas mon interlocuteur ou lui prendra du temps qu'il n'avait pas prévu pour ça, qu'il est occupé et à des choses plus intéressante à faire. Des personnes mieux à rencontrer.

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    J'en ai souffert, j'en souffre encore. Mais malgré mes efforts, « interpeller » quelqu'un le premier est quelque chose que je me force à faire et qui me coute. La peur de gêner, de déranger, de ne pas être à sa place.

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    Je me connais assez bien pour savoir où sont les points à corriger. J'ai essayé, on a essayé de m'aider. Pour l'instant en pure perte. Et si je n'arrive pas à vaincre mes problèmes, au moins j'ai l'avantage de les connaître

    Rien que tenir ce bout de moi sur la toile me coute, même si je sais que ça reste très impersonnel, j'ai tout de même du mal.


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