• Emprisonné par la carapace que je me suis forgé

    Les mots de mon cœur n'arrivent plus à s'envoler

    Une vie coincée dans ce monde étriqué

    J'ai longtemps cherché à me libérer

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    Chaque porte entrouverte s'est si vite refermée

    Chaque vent de liberté s'est si vite essoufflé

    Chaque flamme de chaleur à si vite vacillé

    Chaque terrain fertile de bonheur s'est si vite asséché

    <o:p> </o:p>

    L'espoir à disparu de mon cœur

    Au fur et à mesure que se tarissaient mes pleurs

    Cesser de rêver à un monde meilleur

    Reprendre le court d'une vie sans saveur

    <o:p> </o:p>

    Tu as porté sur ma solitude

    Ton regard, tes inquiétudes

    Ta voix a soufflé sur les braises de mon cœur

    Enfin renaître avec toi, sortir de ma torpeur


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  • Le vent a fait s'approcher les nuages
    Il fait gris au dessus des plages
    Et la mer a l'air triste aussi
    Le ciel n'est plus qu'un long tissu de brume
    Il va faire une nuit sans lune
    Et demain je n'aurai pas dormi
    Peut-être je vais rencontrer une dame
    Quand j'irai accrocher mon âme
    Sur les arêtes des rochers
    Mais le vent souffle si fort sur ces pierres
    C'est plus la peine que j'espère
    L'amour ne peut pas s'y poser
    Mais je rêve
    Je lance des mots
    Vers le jour qui s'achève
    Je voulais qu'il reste
    Il n'a pas entendu
    Plus loin sur les rocs que la mer assaille
    Cheveux et jupon en bataille
    Combien de femmes ont attendu
    Combien ont crevé leur cœur sur les vagues
    Pour celui qui avait l'autre bague
    Et qui n'est jamais revenu
    Mais je rêve
    Je lance des mots
    Vers le jour qui s'achève
    Je voulais qu'il reste
    Il n'a pas entendu
    La mer est plus forte que mon courage
    Mais ce soir il y a des nuages
    Et je sais qu'elle est triste aussi
    Quand ces mots seront devenus des braises
    Je monterai sur la falaise
    Jeter leurs cendres dans la nuit
    Mais je rêve
    Je lance des mots
    Vers le jour qui s'achève
    Je voulais qu'il reste
    Il n'a pas entendu
    Je dédie ces mots
    Aux amours qui s'achèvent
    Je voudrais que tu restes

    Parole et musique: F. Cabrel


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  • Sur le chemin menant aux enfers

    J'ai croisé le regard d'un ange

    Que fait-elle dans ces lieux de misères ?

    Sans ses ailes, c'est étrange

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    Le feu qui la consume

    Est déroutant, voir dérangeant

    Depuis je cours après des plumes

    Pour lui tisser un vêtement

    <o:p> </o:p>

    Elle a stoppé ma déchéance

    Pour un instant, c'est certain

    Pour lui prouver ma reconnaissance

    Je voudrai lui prendre la main.

    <o:p> </o:p>

    Malheureusement, c'est impossible

    Et c'est pourquoi j'oserai ici

    Crier bien fort pour être audible

    Toi mon Amie, mon Inconnue, MERCI


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  • Tel le Phénix. Je renaîtrai des cendres de ce feu qui me consume afin de m'envoler vers le destin de mes rêves.

    A moins que mes ailes soient trop lourdes, que toutes mes vies soient déjà épuisées


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