• Elle a déclenché la sonnerie d'un réveil

    Placé dans mon cœur un arc en ciel

    Chacun de ses mots est essentiels

    Tous ses silences, si mortels

     

    Elle danse au milieu de mon sommeil

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    La vie lui est parfois cruelle

    Elle, si fragile derrière son image

    Lui offrir un nouveau soleil

    Enfin réussir à tourner des pages

    Etre tous près, lui tendre la main

    L'aider sur son parcours, son destin

    <o:p> </o:p>

    Son image est présente

    Dans tous les lieux que je fréquente

    J'ai osé garder les phrases qu'elle

    A versé en moi, comme des étincelles

    <o:p> </o:p>

    Je voudrais la faire vibrer

    Comme les cordes de ma guitare

    Enchainer avec elle les accords

    De torrides corps à corps

    <o:p> </o:p>

    Le son de sa voix se perd en moi

    Le goût de sa peau n'est pas pour moi

    Et même si je ne connais rien d'elle

    Je prie, qu'elle soit là à mon réveil


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  • Pourquoi les blessures de l'âme ne se soignent elles jamais ?

    Pourquoi la magie des mots engendre-t-elle des douleurs ?

    Pourquoi faut-il faire semblant les ¾ du temps ?

    Pourquoi la vie n'est elle qu'une suite d'inconstances ?

    Pourquoi ma vie n'est elle qu'une expérience vide ?

    Pourquoi le bonheur pur et entier n'existe-t-il pas ?

    Pourquoi ne peut-on oublier les cahots de la vie ?

    Pourquoi n'ai-je pas la force de changer de vie ?

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    J'ai mes réponses, mais alors,

    Pourquoi est-ce-que je n'applique pas des solutions proportionnées aux réponses ???

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  • Heure sonne matin
    Pleure chagrin
    Et repasse le film humide
    Du passé dans les yeux

    Court bien trop court
    Notre amour
    Et les appels au secours
    Savent qu'un sourd n'entend pas ce qu'il veut

    Et pourtant il faut vivre
    Ou survivre
    Sans poème
    Sans blesser tous ceux qui l'aiment
    Être heureux
    Malheureux
    Vivre seul ou même à deux

    Mais vivre pour toujours
    Sans discours
    Sans velours
    Sans les phrases inutiles
    D'un vieux roman photo

    Fleurs fanées meurent
    Noir et blanc
    Seules couleurs
    D'un futur qui est déjà le passé pour nous

    Et pourtant il faut vivre
    Ou survivre
    Sans poème
    Sans blesser ceux qui nous aiment
    Être heureux
    Malheureux
    Vivre seul ou même à deux

    Mais vivre en silence
    En pensant aux souffrances
    De la terre et se dire
    Qu'on est pas les plus malheureux

    Quand dans l'amour
    Tout s'effondre
    Toute la misère d'un monde
    N'est rien à côté d'un adieu

    Et pourtant je veux vivre
    Ou survivre
    Sans poème
    Sans blesser tous ceux que j'aime
    Être heureux
    Malheureux
    Vivre seul ou même à deux

     Paroles et musique: D. Balavoine


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  • Deux corps si près l'un de l'autre

    Qu'ils peuvent sentir la chaleur de leur respiration

    Deux corps qui ce frôlent

    Déclenchant une vague de frisson

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    Nos mains hésitantes s'effleurant

    Se rapprochant, se serrant

    Mes doigts dessinant le contour de ton visage

    Entrainant mes baisers dans leur sillage

    <o:p> </o:p>

    Gouter la saveur de ta peau

    M'imprégner de ton parfum

    Voler ces instants si beaux

    Les garder en moi sans fin

    <o:p> </o:p>

    Puis nos caresses se font plus fortes

    Nos empreintes recouvrent nos corps

    Prélude à la volupté s'annonçant

    Interrompu par un réveil sonnant

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  • Juste en passant:

    Puisqu'on ne vivra jamais tous les deux
    Puisqu'on est fous, puisqu'on est seuls
    Puisqu'ils sont si nombreux
    Même la morale parle pour eux
    J'aimerais quand même te dire
    Tout ce que j'ai pu écrire
    Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux.

    Je n'avais pas vu que tu portais des chaînes
    À trop vouloir te regarder,
    J'en oubliais les miennes
    On rêvait de Venise et de liberté
    J'aimerais quand même te dire
    Tout ce que j'ai pu écrire
    C'est ton sourire qui me l'a dicté.

    Tu viendras longtemps marcher dans mes rêves
    Tu viendras toujours du côté
    Où le soleil se lève
    Et si malgré ça j'arrive à t'oublier
    J'aimerais quand même te dire
    Tout ce que j'ai pu écrire
    Aura longtemps le parfum des regrets.

    Mais puisqu'on ne vivra jamais tous les deux
    Puisqu'on est fous, puisqu'on est seuls
    Puisqu'ils sont si nombreux
    Même la morale parle pour eux
    J'aimerais quand même te dire
    Tout ce que j'ai pu écrire
    Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux.

    Paroles et musiques: F. Cabrel


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